Enfin arrivé ...

Volesprit était enfin arrivé à l'école. Soulagé, il laissa tomber ses affaires, et avec un soupir de soulagement, se laissa glisser le long d'un pilier qui soutenait le plafond de l'école. Avec un ricanement nerveux, il se remémora les dures épreuves qu'il avait dut affronter pour arriver jusqu'ici. Cela n'avait vraiment pas été facile. Mais il y était enfin arrivé. Un nouveau ricanement lui échappa, avant qu'il murmurre d'une voix exténué:

"C'est pas trop tôt. J'espere que ces morveux en valent le coup, parce que sinon ..."

Il ne termina pas sa phrase, préférant se plonger dans la contemplation de l'architecture du batiment: il n'était pas trop mal pour une école.

Alors qu'il se tournait pour poursuivre sa contemplation du batiment, il découvrit qu'une personne approchait dans sa direction. Il décida de l'attendre, ainsi affalé.

Nawaki se promenait dans le lycée. Cela faisait longtemps qu'il n'était pas revenu ici, à peu près deux ans. Maintenant qu'il était étudiant, il n'avait pas trop l'occasion de venir rendre visite à ses anciens professeurs et venir se moquer de ses amis redoublants. Il avait fait un tour rapide sans rencontrer quelqu'un qu'il connaissait. Il décida de partir et de reneir un jour où il y aurait plus de monde. Alors qu'il s'approchait de la sortie, il vit un homme affalé sur le sol contre le pilier à l'entrée. Il se dirigea vers lui pour savoir ce qu'il faisait là alors qu'il paraissait être un peu vieux pour être un élève.

**C'est peut être un nouveau pion**

Nawaki arriva alors à son niveau.

"Bonjour! Je peux fare quelque chose pour vous?. Vous avez l'air exténuer."

James le dévisagea quelques instants, puis lacha avec un sourire:

"Non, merci. Il est vrai que je suis un peu fatigué. Mon voyage a été éprouvant, mais rien d'inquiétant, ne vous en faites pas."

Puis, par politesse, il se releva et lui tendit la main en déclarrant d'une voix douce:

"Je suis un nouveau professeur ici. James Volesprit, ravit de vous rencontrer."

**Hé ben, pour un professeur, il a pas l'air très compétent. Heureusement que je suis déja partit d'ici. Il doit être encore pire que les élèves qu'il y a ici.**

Nawaki lui serra la main par politesse même s'il trouvait un peu débile à s'affaler comme ça par terre alors que quelques uns de ses nouveaux élèves pourraient passer par là. Quelle honte pour un prof quand même.

"Ravi de vous rencontrer moi aussi. Je m'appelle Nawaki Kiyato. Ancien lycéen ici et étudiant à l'heure actuelle."

Volesprit dévisagea longuement le jeune homme. Plus son examen se prolongeait, plus son regard devenait froid. Il n'aimait guère ce qu'il voyait sur le visage du jeune homme. De la condescence. Du mépris. Volesprit stoppa finallement son examen, et déclara avec une voix dangereusement froide:

"Nawaki Kiyato ... je me souviendrais de ce nom."

Puis, se retournant vers le couloir, il déclara avec une voix toujours aussi froide:

"Je suppose que vous êtes ici pour une raison quelconque. Je ne vous retarderais donc pas plus longtemps. Au revoir Mr Kiyato."

On regard revint se poser sur Nawaki. Il était d'un froid polaire. Ce n'était pas une suggestion. Il n'avait pas le choix. Il allait partir d'ici sur le champs, lui et son regard méprisant.

Nawaki le regarda partir sans aucun regret. Il n'aimùait pas vraiment cette homme. Et 'après le regard qu'il lui avait lancé, l'homme n'aimait pas non plus Nawaki.

"Moi aussi je me souviendrais de vous Monsieur Volesprit. J'espère qu'on se revérra."

**Bien sur dans très longtemps**

Nawaki n'avait rien de plus a faire au contraire de ce que croyais James Volesprit. Il se retourna donc et s'en alla.

Volesprit ramassa ses affaires, et; longeant le couloir, se dirigea vers la sortie de l'école. Il avait décidé de poser ses affaires dans son nouveau logement. Il visiterait un peu la ville, puis il reviendrait à l'école donner des cours aux ados dont il aurait la charge. Il serra les poings avec un rictus en pensant que si ceux ci avaient l'audace de le regarder comme l'idiot qu'il venait de rencontrer, ils n'aimeraient vraiment pas leurs années.

En effet, le jeune impétueux ne savait pas combien James pouvait être ombrageux. Il avait faillit lui arracher les yeux et lui faire bouffer pour lui apprendre à le regarder comme ca.

Il tenta de se calmer, en respirant lentement, puis quand ce fut fait, se dirgea vers son logement de fonction.